Les Disparitions - Désormais, n'a aucune image.

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Jean-Louis Fernandez
Théâtre national de Strasbourg - Entrée Marseillaise, Salle Hubert Gignoux • Placement libre – Assis
3h00
Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle présentant des images à caractère pornographique, il est interdit au moins de 18 ans.
Présence d’effets stroboscopiques.

Ce spectacle n'est pas accessible aux jeunes de moins de 18 ans, du fait de l'utilisation de quelques images à caractère pornographique. De même, nous tenions à vous informer de la présence d'effets stroboscopiques.

"Tenant à la fois du roman de science-fiction, du film d'espionnage et du poème d'amour, la pièce de Christophe Pellet explore le capitalisme qui vient, entre cauchemar politique halluciné et élégie érotique. Les écrans ont disparu. Mais, loin d’être anéantie, la gouvernementalité du spectacle s’exerce désormais à même la pupille : le pouvoir, via l’usage d’implants nanométriques et la distribution d’une drogue nouvelle, la lumière, maintient les corps dans le flux des images et la douleur des fausses passions. Pourtant, le désir d’infini, qu’il se nomme amour, nature, Dieu ou révolution, ne se résout pas à disparaître, et résiste. Alors il faut sortir, constituer de nouveaux mondes, loin du regard de la domination, et inaccessibles à sa récupération. Nous nous laisserons orienter par ces expériences liminales ou marginales, ces tentatives de fuite : musique électronique, cinéma situationniste et sorcellerie nous mèneront du spectacle à sa disparition, et de la mélancolie des villes aux profondeurs des forêts et de ce qui s’y prépare." "Eddy D'aranjo, novembre 2018."  

 

Mise en scène Eddy d’Aranjo
Scénographie Marjolaine Mansot
Costumes Estelle Deniaud
Régie générale, plateau Zélie Champeau
Lumière Typhaine Steiner
Son, plateau Enzo Patruno Oster

Avec
Majda Abdelmalek Moïra
Elan Ben Ali Wilbur
Romain Gillot Kathalyn
Jisca Kalvanda Joachim
Léa Sery Audrey
Yanis Skouta Dimitri

Christophe Pellet est auteur, scénariste, réalisateur et performeur. Sa pièce Erich von Stroheim, publiée en 2006, a été créée par Stanislas Nordey et présentée en janvier 2017 au TNS. Il vient de réaliser son premier long - métrage, Aujourd'hui rien, d’après les journaux intimes de Cesare Pavese et Jean-Luc Lagarce. L'écriture poétique et cinématographique de Christophe Pellet interroge la possibilité de s'émanciper des images et des normes pour construire une relation à soi, à l’autre et au monde

- 05.03.19 | Les Inrocks
- 05.03.19 | Balagan - Blog de JP Thibaudat